Calendrier des événements psy.

deux journées d'études "psychanalyse, droit, savoir", à l'unesco les 20 et 21 XI :
http://www.insistance.org/uploads/pdf/Programme%20de%20la%20%20Journee%20Mondiale%20de%20la%20Philosophie.pdf

CYCLE DE CONF GRATUIT dans la très confortable salle de conférences de la Maison de la Recherche de la Sorbonne (métro Saint-Michel)

PSYCHANALYSE ET LITTÉRATURE : L'INCONSCIENT CRÉATEUR
Année universitaire 2008 - 2009
ENTRÉE LIBRE

Cycle de conférences organisé par Frédéric SAYER dans le cadre des activités du Centre de Recherche en Littérature Comparée (Direction : Jean-Yves MASSON)

Toutes les séances se déroulent salle D 035
Maison de la Recherche, 28 rue Serpente, Paris 6e
16h - 18h.


Lundi 16 mars 2009

Catherine Desprats-Péquignot (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII)
« Dispositions psychiques de l'écrivain et invention de la psychanalyse »

Christian Hoffmann (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII)
« Le nouveau Kafka »


Lundi 6 avril 2009

Paul-Laurent Assoun (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII)
« Le symptôme à la lettre : Freud et la littérature »

Camille Dumoulié (Professeur de Littérature Comparée à Paris X)
« Du fantasme au fantastique : une relation d'objet »

Lundi 4 mai 2009

Françoise Meltzer (Professeur de Littérature Comparée à l'Université de Chicago)
« L'inconscient et la litterarité : un entretien à venir »

Alain Vanier (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII)
« Novalis, l'écriture, le nom et le sujet »

Céline Masson (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII)
" L'Invention de Morel : la livre de virtuel "

Lundi 8 juin 2009

Anne Tomiche (Professeur de Littérature Comparée à Paris XIII)
« Relire Freud pour penser la littérarité avec Jean-François Lyotard »

Maurizio Balsamo (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII)
« Malentendus et transcriptions psychiques. Freud et Harold Bloom (The Anxiety of Influence) »



***

Ce cycle de conférences veut relayer la parole vivante d'authentiques cliniciens : comment les souvenirs littéraires nourrissent-ils l'interprétation de l'analyste ? La création analytique n'est- elle faite que de réminiscences littéraires articulées ou bien s'abandonne-t-elle à ce « lâchez tout » de ballon libre qui est comme l'essence du romanesque ou l'essence du jeu si cher à Winnicott ? Etre analyste n'est-ce pas aussi ouvrir en soi un espace de création ? Le lien entre la création et le déroulement d'une analyse est plus que formel : à l'inspiration du poète correspondrait le souvenir du patient, à l'écriture du romancier se superposerait l'interprétation de l'analyste, mais inversement le souvenir est déjà une re-création, si l'on garde à l'esprit avec Freud que les souvenirs-écrans, à la manière des rêves et des fantasmes, sont certes des déformations morcelées, mais contiennent enclos le tout de la vérité d'un sujet. Une manière de se rappeler avec Lacan que le sujet est barré.

Pour poursuivre le parallèle, on peut avancer que le magma des pulsions partielles s'organise en un destin inconscient du sujet, de la même manière que l'écriture littéraire saisit et donne forme à une vérité enfouie de la psyché de son auteur. La part obscure de la littérature n'est-elle que le fruit du refoulement ? Au contraire, on peut penser que l' « énigmaticité » de la fiction est la plus à même d'atteindre la profondeur organique de la psyché. Quelle est la part révolutionnaire de la psychanalyse, celle qui réinvente le psychisme avec la même créativité que la littérature ? Cette variabilité infinie du psychisme fait entendre ce que le texte de l'inconscient doit à l'altérité et inversement comment le texte littéraire construit un dehors de l'espace psychique, même lorsque la fiction veut s'identifier au plus intime.

***

L'objet de ce cycle de conférences consiste à établir ce que la psychanalyse peut apporter à la littérature et non lui soustraire. En effet, à moins qu'elle n'explore la poétique langagière de ses patients, la psychopathologie, même analytique, ne permet pas de rendre compte de toute la complexité d'auteurs tels que Sade, Nerval, Maupassant, Flaubert, Kafka, Arthur Rimbaud, Antonin Artaud, Marcel Proust, André Gide, Marguerite Duras, Borges, Beckett, Saul Bellow, Thomas Pynchon, Michel Leiris, George Bataille, etc. En revanche, la recherche analytique peut forger de nouveaux concepts très proches de ceux de la critique littéraire (« l'informe », « la déliaison », etc.). Cela pose la question de l'articulation de la psychanalyse aux autres sciences humaines, à la philosophie, l'esthétique et tout particulièrement à la French Theory souvent hostile à la psychanalyse.



Si les critiques de Deleuze et Foucault ne valent pas force de loi, elles permettent de mettre en perspective le retour très contemporain de la psychanalyse sous la plume de théoriciens influencés par la French Theory, notamment Judith Butler. Ce retour est essentiel : la psychanalyse a beau être discréditée comme bourgeoise, « hétéronormée » ou passéiste, elle demeure le seul discours à prendre acte de l'existence d'un inconscient. Plutôt que de nier l'étonnement primordial que constitue la naissance de la psychanalyse, il s'agit plutôt de le restituer à sa vitalité dans ce cycle de conférence interdisciplinaire. Aux organes sans corps de Deleuze correspondent peut-être ces nouvelles souffrances contemporaines dites borderline ou bien le décentrement radical des fictions dites « postmodernes ».




***



Url de référence :
http://www.crlc.paris4.sorbonne.fr/pages/actualites.html


Adresse : C.R.L.C. Maison de la Recherche 28 rue Serpente 75006 Paris

CYCLE DE CONF GRATUIT dans la très confortable salle de conférences de la Maison de la Recherche de la Sorbonne (métro Saint-Michel)

PSYCHANALYSE ET LITTÉRATURE : L'INCONSCIENT CRÉATEUR
Année universitaire 2008 - 2009
ENTRÉE LIBRE

Cycle de conférences organisé par Frédéric SAYER dans le cadre des activités du Centre de Recherche en Littérature Comparée (Direction : Jean-Yves MASSON)

Toutes les séances se déroulent salle D 035
Maison de la Recherche, 28 rue Serpente, Paris 6e
16h - 18h.


Lundi 16 mars 2009

Catherine Desprats-Péquignot (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII)
« Dispositions psychiques de l'écrivain et invention de la psychanalyse »

Christian Hoffmann (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII)
« Le nouveau Kafka »


Lundi 6 avril 2009

Paul-Laurent Assoun (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII)
« Le symptôme à la lettre : Freud et la littérature »

Camille Dumoulié (Professeur de Littérature Comparée à Paris X)
« Du fantasme au fantastique : une relation d'objet »

Lundi 4 mai 2009

Françoise Meltzer (Professeur de Littérature Comparée à l'Université de Chicago)
« L'inconscient et la litterarité : un entretien à venir »

Alain Vanier (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII)
« Novalis, l'écriture, le nom et le sujet »

Céline Masson (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII)
" L'Invention de Morel : la livre de virtuel "

Lundi 8 juin 2009

Anne Tomiche (Professeur de Littérature Comparée à Paris XIII)
« Relire Freud pour penser la littérarité avec Jean-François Lyotard »

Maurizio Balsamo (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII)
« Malentendus et transcriptions psychiques. Freud et Harold Bloom (The Anxiety of Influence) »



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Ce cycle de conférences veut relayer la parole vivante d'authentiques cliniciens : comment les souvenirs littéraires nourrissent-ils l'interprétation de l'analyste ? La création analytique n'est- elle faite que de réminiscences littéraires articulées ou bien s'abandonne-t-elle à ce « lâchez tout » de ballon libre qui est comme l'essence du romanesque ou l'essence du jeu si cher à Winnicott ? Etre analyste n'est-ce pas aussi ouvrir en soi un espace de création ? Le lien entre la création et le déroulement d'une analyse est plus que formel : à l'inspiration du poète correspondrait le souvenir du patient, à l'écriture du romancier se superposerait l'interprétation de l'analyste, mais inversement le souvenir est déjà une re-création, si l'on garde à l'esprit avec Freud que les souvenirs-écrans, à la manière des rêves et des fantasmes, sont certes des déformations morcelées, mais contiennent enclos le tout de la vérité d'un sujet. Une manière de se rappeler avec Lacan que le sujet est barré.

Pour poursuivre le parallèle, on peut avancer que le magma des pulsions partielles s'organise en un destin inconscient du sujet, de la même manière que l'écriture littéraire saisit et donne forme à une vérité enfouie de la psyché de son auteur. La part obscure de la littérature n'est-elle que le fruit du refoulement ? Au contraire, on peut penser que l' « énigmaticité » de la fiction est la plus à même d'atteindre la profondeur organique de la psyché. Quelle est la part révolutionnaire de la psychanalyse, celle qui réinvente le psychisme avec la même créativité que la littérature ? Cette variabilité infinie du psychisme fait entendre ce que le texte de l'inconscient doit à l'altérité et inversement comment le texte littéraire construit un dehors de l'espace psychique, même lorsque la fiction veut s'identifier au plus intime.

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L'objet de ce cycle de conférences consiste à établir ce que la psychanalyse peut apporter à la littérature et non lui soustraire. En effet, à moins qu'elle n'explore la poétique langagière de ses patients, la psychopathologie, même analytique, ne permet pas de rendre compte de toute la complexité d'auteurs tels que Sade, Nerval, Maupassant, Flaubert, Kafka, Arthur Rimbaud, Antonin Artaud, Marcel Proust, André Gide, Marguerite Duras, Borges, Beckett, Saul Bellow, Thomas Pynchon, Michel Leiris, George Bataille, etc. En revanche, la recherche analytique peut forger de nouveaux concepts très proches de ceux de la critique littéraire (« l'informe », « la déliaison », etc.). Cela pose la question de l'articulation de la psychanalyse aux autres sciences humaines, à la philosophie, l'esthétique et tout particulièrement à la French Theory souvent hostile à la psychanalyse.



Si les critiques de Deleuze et Foucault ne valent pas force de loi, elles permettent de mettre en perspective le retour très contemporain de la psychanalyse sous la plume de théoriciens influencés par la French Theory, notamment Judith Butler. Ce retour est essentiel : la psychanalyse a beau être discréditée comme bourgeoise, « hétéronormée » ou passéiste, elle demeure le seul discours à prendre acte de l'existence d'un inconscient. Plutôt que de nier l'étonnement primordial que constitue la naissance de la psychanalyse, il s'agit plutôt de le restituer à sa vitalité dans ce cycle de conférence interdisciplinaire. Aux organes sans corps de Deleuze correspondent peut-être ces nouvelles souffrances contemporaines dites borderline ou bien le décentrement radical des fictions dites « postmodernes ».




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Adresse : C.R.L.C. Maison de la Recherche 28 rue Serpente 75006 Paris

ÉCOLE DES PARENTS ET DES ADOLESCENTS :

« LES TROUBLES DU COMPORTEMENT VIOLENT À L’ADOLESCENCE : QUELLE PRISE EN CHARGE ? »

La question de la prise en charge des adolescents en difficulté interroge les modes d'interventions et les pratiques d'accompagnement. La problématique adolescente n'est pas une question nouvelle, toutes les institutions y sont confrontées. Ce qu'il y a de nouveau c'est la difficulté à y répondre et à aider les jeunes à sortir de leur mode d'expression actuel qui déroute les adultes par son caractère brutal et souvent violent. L' EPE IDF propose un séminaire avec les plus grands spécialistes de l'adolescence, experts, praticiens, universitaires pour pour aider à l'élaboration de nouvelles pratiques éducatives.


PLANNING DU SEMINAIRE

* 12 mars 2009 19h00-22h00
« L’adolescence et ses transformations jusqu’aux désordres »
Philippe JEAMMET, psychiatre, professeur des universités, président de l’Ecole des parents et des éducateurs d’Ile de France.

* 9 avril 2009 18h30-21h30
« Du trouble du comportement au trouble de la personnalité »
Michel Botbol, psychiatre, psychanalyste, Président du comité santé des jeunes de la Fondation de France, directeur de la clinique Dupré à Sceaux.

* 14 mai 2009 18h30-21h30
« Penser la suppléance parentale : responsabilité et culpabilité »
Jean-Claude Cebula, psychologue clinicien, directeur de l’IFREP, formateur et intervenant en accueil familial.

* 11 juin 2009 18h30-21h30
« Face aux comportements violents : contenance et contention »
Jean Chambry, médecin, pédopsychiatre au centre hospitalier interdépartemental de psychiatrie de l’enfant et l’adolescent –Fondation Vallée, conseiller clinique à l’Ecole des parents et des éducateurs d’Ile de France.
« Poser des limites sans être dans le rapport de force »

* 2 juillet 2009 18h30-21h30
Daniel Marcelli, psychiatre, professeur des universités, chef de service de psychiatrie infanto-juvénile au C.H.U. de Poitiers.

Marie-Laure COMPPER
Assistante de Service Formation - 01.44.93.44.74


j'ai posté au cas où, mais ça coûte très très cher...

C'est combien, très très cher ? :s

Tarif pour le séminaire les troubles du comportement à l'adolescence:

Une séance:80 euros
Les cinq séances:400 euros

Pour un groupe à partir de cinq personnes:
Une séance:68 euros (par personne)
Les cinq séances 340 euros (par personne)

Bon... Il va falloir créer un fil similaire avec des entrées pas chères ou en entrée libre...
Parce que 10 € c'est 65 francs ! (Cf. les amphis Paradis pour les plus étudiants...)
Que les conf. de la SPP c'est 15€ (c'est-à-dire 100 francs !)
Que 80€ une conférence, non et non !... je ne peux pas !!! (c'est presque 500 francs !) QUI PEUT SE PAYER CA ?????????
Bref, un salire de psychologue aura du mal à nous payer quelques "causeries"... et le chômage non plus ne nourrit pas le "psy".... Alors quand il a + de 26 ans...

Isa

AHAHAH comment tu fais pour encore penser en francs moi j'y arrive plus !!!

Pour le reste d'accord avec toi pour dire que c'est trop cher mais pour créer un fil exprès... bof

Cilou a écrit:

[...]Pour le reste d'accord avec toi pour dire que c'est trop cher mais pour créer un fil exprès... bof

Bon... En même temps je ne trouve pas que tous les fils et TOUS les posts soient d'un intérêt extraordinaire, non ?
Ca a au moins l'intérêt de s'adresser potentiellement à tout le monde.
Ma proposition en vaut largement d'autres...

Isa

bah, au-delà de ça, c'est surtout la question de la politique institutionnelle vis-à-vis des étudiants qui est en jeu, je trouve. un certain nombre d'assoces pratiquent des tarifs nettement dégriffés par rapport à la formation continue, et à mon sens ce qui est visé par ce biais c'est une vraie politique de transmission et de relève des générations. et je trouve ça nettement plus respectable et cohérent, surtout quand par ailleurs le discours ambiant geint beaucoup sur la désaffection de la psycha, que de se faire du blé à tous crins...
mais bon, je me suis dit que quelqu'un pouvait avoir envie de casser sa tirelire...

Mon post n'avait rien "contre" le tien Gwen, évidemment - j'espère qu'il n'y a pas de mauvaise interprétation à ce sujet !
Mais enfin, tu me permets, n'est-ce pas, de répondre à Cilou ?

Bien entendu il y a un "au-delà" (tu as raison, ne restons pas au ras des paquerettes !!!)
Nous sommes bien d'accord : il me semble aussi que les diverses associations qui dispensent des journées, colloques, conférences, ect... sont dans une logique de transmission... mais à quel prix (pour les "receveurs de la bonne parole"...)
Et en effet, si transmission égal faire des sous seulement...
Je te suis 100% sur l'actuel discours pleurard de la désertification de la psychanalyse, à croire donc - et ce doit être vrai... - qu'ils n'ont à convaincre que des convaincus...

Lorsque je vois que l'association fédérée par Nasio tarife ses conférences à un prix tout de même nettement plus bas que lorque Nasio en personne (lol !) est intervenant, je reste un peu songeuse... La parole de l'un vaudrait davantage que les autres... Le "Sujet supposé savoir" et tout ça... A croire donc "qu'il sait" davantage... (Discours pour le moins incohérent...)

J'entends par ailleurs parfaitement qu'une association qui se destine (pour tout ou partie à la transmission) a des frais, nécessairement... Mais enfin...
Illogique.
"Qu'ils aillent..." - c'est tout ce que j'ai envie de dire...

Isa

bah, j'intervenais juste dans le débat que tu avais avec cilou, parce que je le trouvais intéressant . et j'l'avais d'autant moins pris pour moi que c'est pas moi qui fixe les tarifs de l'EPE, tarifs qui m'avaient laissée pantoise d'ailleurs, d'où ma remarque initiale... . en clair, comme je n'avais pas d'avis sur le nombre de fil, j'ai posté sur l'aspect qui m'intéressait... et même je vais poursuivre sur ma lancée ! .
et ouais, sur cette histoire de transmission etc je suis assez d'accord avec toi - je trouve ton exemple avec nasio assez hallucinant d'ailleurs.
en fait, j'avais vraiment commencé à y réfléchir avec les journées d'études/congrès divers et variés de l'assoce des CMPP territoriaux à ivry. de mémoire, quand j'ai commencé à y aller, j'étais stagiaire là-bas, donc j'avais entrée libre, et le tarif étudiant était très raisonnable. et depuis ptêt deux-trois ans, c'est devenu gratuit pour les étudiants en général (et ils prennent beaucoup plus de stagiaires, d'ailleurs) : et ça, ça me semble très cohérent pour remplir une mission de transmission et de formation entre les générations, surtout dans un contexte où tu essaies de transmettre des choix éthiques et politiques - d'ailleurs utopsy le 14/03 à montreuil est aussi en entrée libre...
ptêt qu'en fait, un "certain nombre" ont trop pris l'habitude que si la parole est "libre", elle n'en est pas moins tarifée, et souvent lourdement... ou comme un dévoiement du coût du désir... ?

Moi j'étais plus au ras des pâquerettes excusez moi j'ai pas la tête à théoriser en ce moment... Ma remarque ne visait qu'à une lisibilité plus simple du forum D'autant que je suis sûre que la notion de cher ou pas cher reste toute relative aux moyens financiers de chacun... Je suis sûre que certains ne trouvent pas que 80€ soit si cher que ça (ce qui n'est pas mon cas !)

mdr : les explications embarrassées de chacune, sur genre "ne vous méprenez pas, moi aussi je trouve ça cher"...

lol !
Bref, c'est cher pour nous tous ici, sur ce forum, étudiants ou pas !
J'suis un peu "nerveuse", moi, en ce moment !

Quand je recherche des conf. et assimilées sur le Net, je me butte la plupart du temps au prix.
A Sainte-Anne, ceci dit, il y a pas mal de trucs en entrée libre.

Moi aussi, Gwen, j'ai pensé à "l'argument" qu'il faut que ça coûte pour valoir / représenter quelque chose !
En tout cas je vais regarder Utopsy à Montreuil !!!

Isa

Isabulle a écrit:

Moi aussi, Gwen, j'ai pensé à "l'argument" qu'il faut que ça coûte pour valoir / représenter quelque chose !

c'est juste que ça me fait un peu trop penser à toutes ces fois on j'entends des trucs sur " le désir du patient", et où je peux pas m'empêcher de penser que c'est surtout une planque commode qui évite au clinicien de se remettre en question... l'universel "c'est pas moi, c'est l'autre"...

Enfances & psy : LE REGARD
vendredi 20 mars 2009, espace Reuilly 75012 Paris.
Renseignements et inscriptions : colloques@enfancesetpsy.net

C’est dans les premiers échanges de regard que se constituent les bases de l’identité et du narcissisme de l’enfant. Le regard est aussi le véhicule des affects, un instrument de communication.

C’est notamment par le regard, sous-tendu par la curiosité, la pulsion scopique, que l’enfant appréhende et découvre le monde.

Les enfants, les adolescents eux-mêmes portent un regard sur leurs pairs et s’évaluent mutuellement dans des échanges. Mais qu’en est –il des professionnels et de leur regard sur l’enfance et l’adolescence ? Est- ce que notre bienveillance évolue avec les représentations mouvantes que nous en avons ? Notre expérience professionnelle peut-elle être utile ou un frein pour appréhender des pathologies nouvelles et tenter de décaler notre regard devant chaque situation clinique nouvelle ?

La multiplicité des points de vue sur le regard est telle que nous en avons convoqué certaines facettes pour lancer un débat dans notre société où le sujet tend à devenir toujours plus narcissique.

pour info : inscriptions étudiantes 40E, le dernier numéro de la revue compris. (est-ce que ceci rend cela plus abordable isa ? )

Non... 40€ c'est très cher (équivalent 270 francs !!!)
Et en + je ne suis plus étudiante...
Pas de sous.
De toute façon 40 € c'est cher en tant que tel (compter le temps qu'il faut travailler pour obtenir cette somme...)

Isa

oui, mais ya un "livre" avec, c'est ça que je soulignais, et j'avais oublié que t'es plus étudiante...

Oui, j'avais bien compris, le livre en +
Ben, non... Maintenant une autre galère est en cours > trouver un travail > et c'est mal parti jusqu'à présent...

Isa

ça bloque où ? (si c'est pas trop indiscret)

Les deux conférences GRATUITES de ce lundi 16 mars à 16h du cycle L'inconscient créateur : littérature et psychanalyse auront exceptionnellement lieu dans le grand auditorium des Cours de civilisation française de la Sorbonne au 16 bis, rue de l'Estrapade 75005 Paris entre le Panthéon et la rue d'Ulm.
http://www.ccfs-sorbonne.fr/article.php3?id_article=466

Merci de bien vouloir diffuser l'information aux personnes intéressées. Je vous prie de bien vouloir m'excuser pour la gêne occasionnée par ce changement de salle.

PSYCHANALYSE ET LITTÉRATURE : L'INCONSCIENT CRÉATEUR
Année universitaire 2008 - 2009 - entrée libre.

Cycle de conférences organisé par Frédéric SAYER dans le cadre des activités du Centre de Recherche en Littérature Comparée (Direction : Jean-Yves MASSON)
Toutes les séances se déroulent salle D 035 Maison de la Recherche, 28 rue Serpente, Paris 6e 16h - 18h.

Lundi 16 mars 2009 dans l'auditorium du 16 rue de l'Estrapade 75005 Paris
Catherine Desprats-Péquignot (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII) « Dispositions psychiques de l'écrivain et invention de la psychanalyse »
Christian Hoffmann (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII) « Le nouveau Kafka »

Lundi 6 avril 2009
Paul-Laurent Assoun (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII) « Le symptôme à la lettre : Freud et la littérature »
Camille Dumoulié (Professeur de Littérature Comparée à Paris X) « Du fantasme au fantastique : une relation d'objet »

Lundi 4 mai 2009
Françoise Meltzer (Professeur de Littérature Comparée à l'Université de Chicago) « L'inconscient et la litterarité : un entretien à venir »
Alain Vanier (Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à Paris VII) « Novalis, l'écriture, le nom et le sujet »
Céline Masson (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII) « L'Invention de Morel : la livre de virtuel »

Lundi 8 juin 2009
Anne Tomiche (Professeur de Littérature Comparée à Paris XIII) « Relire Freud pour penser la littérarité avec Jean-François Lyotard »
Maurizio Balsamo (Psychanalyste, Maître de conférences en Psychopathologie à Paris VII) « Malentendus et transcriptions psychiques. Freud et Harold Bloom (The Anxiety of Influence) »

http://www.ecart-psy.org/PLAQUETTE.pdf
Tout est là. Juste au-dessus. Là. Voilà.
Venez nombreux. Sinon...rien en fait, mais ce n'est pas une raison pour ne pas venir.
Contrairement à ce qu'annonce la brochure, le tarif étudiants sera en fait de 20 Euro -juste de quoi couvrir le repas.

Conférence : Les pratiques des psychologues et l'éthique

Jeudi 7 Mai 2009 de 9h à 16h
Hôpital européen-Georges Pompidou Auditorium
20 rue Leblanc
75015 Paris
C'est gratuit, faut s'inscrire en envoyant un mail ici: formation.ethique@sls.aphp.fr

Programme : http://www.espace-ethique.org/doc2009/Ethique_psychologie_070509.pdf

Tu vas y aller ?