de mémoire, la séparation des 'couples indifférenciés', c'est une variante de Babel :
pour je ne sais plus quelle raison, les humains de l'époque ont dû commencer de s'empiler les uns sur les autres, jusqu'à atteindre le ciel pour essayer d'atteindre les dieux. c'est cette arrogance qui a été châtiée.
et c'est pour ça qu'on a un nombril : c'est la cicatrice résiduelle de l'ancienne 'fusion'...
ah, et il me semble qu'au-delà des aspirations hermaphrodites, le souci c'est de n'être pas auto-fertile : même les escargots ont besoin d'un partenaire... je crois que c'est quelque part chez françoise héritier.
(et pour la petite histoire, aristophane était un poète comique, pas un tragédien. il écrivait des satires sociales, des farces etc, souvent assez virulentes - et se moquait régulièrement et copieusement des tragédiens... genre ancêtre de molière, en moins politiquement correct [pour ce que je connais de molière])