Comment réviser ?

Clémence Poï Poï Poï a écrit:

p'tit praince a écrit:

réussir ses exams = apprendre ses cours par coeur

ah bon...

ça marche pile poil

p'tit praince a écrit:

Clémence Poï Poï Poï a écrit:

p'tit praince a écrit:

réussir ses exams = apprendre ses cours par coeur

ah bon...

ça marche pile poil

C'est le moins qu'on puisse dire.

p'tit praince a écrit:

Clémence Poï Poï Poï a écrit:

p'tit praince a écrit:

réussir ses exams = apprendre ses cours par coeur

ah bon...

ça marche pile poil

c'est triste.

Ui ça marche au début... Quand les profs ne demande pas une reflexion plus personnelle sur les thèmes abordés.
Ca marche les 2 premirèe années en fait, mais à partir de la L3 et nécessairement en M1/M2 il faut absolument apporter une reflexion plus approfondie que le cours, aller chercher dans d'autres cours, dans ses stages et ses lectures pour illustrer ses propos et lier tout ça ensemble.. C'est vraiment de la reflexion qu'on demande parce que le jour où tu seras devant tes patients, tes cours appris par coeur ne te serviront pas à grand chose.. il faudra là aussi faire des liens, aller chercher dans la clinique, etc. pour comprendre la problématique du sujet.

Bref, j'étais venue aussi pour demander un peu d'aide au Master 1 (ou Master 2) par rapport au cours de Richard.. C'est le dernier cours que j'ai à réviser, et j'arrive pas du tout à suivre sa pensée, même à dégager son plan !
Je suis fatiguée, certes, mais même en lisant son bouquin je trouve toujours son cours flou et chaotique.. Mes prises de notes sont minable étant donné que j'arrivais pas à suivre le fil de sa pensée pdt le cours.
Est ce que quelqu'un aurait 2 ou 3 axes à me donner, un résumé, je sais pas, quelque chose qui puisse m'éclairer, synthétiser, orienter..
C'est un appel à l'aide, je suis fatiguée et j'arrive plus à réflechir :'(

Je vous remercie d'avance pour les quelques tuyaux que vous pourriez me donner.

Bon courage à vous tous !

ce qui est difficile pour le cours de richard c'est que c'est un cours de reflexion sur psychanalystes / psychotherapeutes, donc c'est pas du tout construit!

Moi ce que j'ai tiré de son cours c'est qu'il fallait voir :

- la technique clinique de chaque auteur: freud (évolution de sa pensée sur la psychanalyse et la psychotherapie) et winnicott (et levi strauss: le chaman) plus particulièrement avec le travail avec les adolescents (la question du dispositif: le face à face...).

- le travail institutionnel avec les prises en charges multifocales et plurifocales, les transferts lateraux

moi je vois que ça à reviser!

et puis tu devrai regarder dans les annales j'ai posté les annales de richard dans le forum, ça aide un peu!
bon courage!

Murmûre a écrit:

Ui ça marche au début... Quand les profs ne demande pas une reflexion plus personnelle sur les thèmes abordés.
Ca marche les 2 premirèe années en fait, mais à partir de la L3 et nécessairement en M1/M2 il faut absolument apporter une reflexion plus approfondie que le cours, aller chercher dans d'autres cours, dans ses stages et ses lectures pour illustrer ses propos et lier tout ça ensemble.. C'est vraiment de la reflexion qu'on demande parce que le jour où tu seras devant tes patients, tes cours appris par coeur ne te serviront pas à grand chose.. il faudra là aussi faire des liens, aller chercher dans la clinique, etc. pour comprendre la problématique du sujet.

apparemment j'ai eu de la chance car durant mon cursus du par coeur m'a permi d'avoir des notes plus qu'honorable (je rappelle aussi que "par coeur" ne veut pas dire "ne pas comprendre ce qu'on apprend" hein). Ma meilleure moyenne je l'ai meme eu en DESS (M2), toujours avec la technique du "par coeur". Faut pas faire flipper les étudiants, si on demandait de la vraie reflexion ça se saurait et on aurait pas autant de tartine de cours.
En revanche je confirme, les cours, appris par coeur ou non, ne servent quasiment à rien une fois qu'on bosse. On apprend qu'au contact des patients. Mais ce contact lui ne sert à rien dans les examens. Vraiment à rien.

Certainement ui...
Tu dois avoir raison. C'est pas toi qui disais que t'avais quasiment lu aucun bouquin durant ton cursus ?
J'aimerais pouvoir faire partie de ces gens qui ingurgitent tous ce que disent les profs et qui assimilent tous les textes qu'ils lisent sans y passer des journées entières..
Et surtout, passer des periodes de révisions le coeur léger !!!

Merci tiffany pour ta réponse, ca va sûrement m'aider !

Murmûre a écrit:

C'est pas toi qui disais que t'avais quasiment lu aucun bouquin durant ton cursus ?

exact. J'ai surtout lu des morceaux de bouquins. Mais lire un bouquin entier, non merci, les bouquins de psychanalyse (car c'est ce qu'on nous faisait lire, des bouquins de psychanalyse) c'est super chiant.

Rien ne vaut un bon bouquin "abregé" de psychiatrie ou de psychopathologie, c'est tellement plus utile quand on bosse

Ui je suis d'accord avec toi, même si certains auteurs sont passionnant à lire (comme Searles ou Winnicott) c'est vite soporiphique à lire..
Mais ça me fait quand même paniquer de ne pas lire au moins une partie des livres qu'on nous recommande.....

Tu m'intéresses P'tit Praince avec ton point de vue apparemment très à contre courant sur le par coeur.

J'ai bien compris qu'évidemment ça ne veut pas dire qu'il suffit de recracher mot pour mot . Mais justement, j'aimerais savoir ce que tu entends par "apprendre par coeur".

Tu apprenais par coeur les grandes lignes du cours ou toutes les idées ou encore toutes les phrases que tu avais notées ou même les phrases du prof ? Bref, c'est quoi ton par coeur à toi ?

Et inévitablement la question qui suit : comment tu faisais pour apprendre par coeur ? Avais-tu une technique spécifique ? Faisais-tu des fiches ?

Parce que je me dis qu'une technique qui te permet 12 minimum (sachant qu'évidemment ça n'empêche pas d'aller creuser les sujets qui chatouillent là où ça gratouille), ça vaut p-ê le coup d'y songer...

p'tit praince a écrit:

Rien ne vaut un bon bouquin "abregé" de psychiatrie ou de psychopathologie, c'est tellement plus utile quand on bosse

C'est surement la sagesse qui parle, à se demander ce qu'on nous apprend, mon dieu!