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| | Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. | |
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xoxo Princesse
Nombre de messages : 4900 Date d'inscription : 06/11/2006
| Sujet: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. Mer 03 Déc 2008, 8:54 pm | |
| Sinistre 2 décembre 2008 Le Président a voulu parler de la psychiatrie à la Nation. Il a tenu à le faire d’un hôpital psychiatrique, ce qu’aucun Président n’avait encore osé faire, alors que selon ses propos son entourage lui avait dit « Ne touches pas à ce domaine. Tout le monde s’y casse la figure ». (Il aurait du écouter, hélas … !) Mais lui ne recule devant aucun défi.
En effet, témoins des propos tenus et des gestes qui l’accompagnaient, nous savons qu’il faudra un autre Président de la République pour que pareil affront à l’humain soit effacé.
Comment n’avons-nous pas pu crier notre honte et notre colère sur le champ ? La folie est redevenue à la demande d’un Président l’objet de la vindicte populaire. La folie est condamnable il faut l’enfermer et l’effacer ! Le danger est à nos portes. Il faut soigner certes mais il faut surtout ‘protéger’ la société, avons-nous entendu. D’abord les hôpitaux vont être ‘sécurisés’ (on pense barbelés, caméra, miradors, doubles portes blindées, les fouilles au corps, les chiens,…) Mais d’abord il va y avoir « obligation de soins ». Cette affirmation n’avait jamais été prononcée par un Président, ni par un ministre. C’est une décision d’une gravité exceptionnelle. Elle vient s’ajouter à l’atteinte à la liberté que représente toute hospitalisation d’office. Elle vient enfreindre toutes les règles médicales. Elle empiète sur la liberté des familles. C’est en fait l’ouverture à l’arbitraire, car elle ne s’appuie sur aucune donnée vérifiable, et ses limites seront incontrôlables.
Elle va même pouvoir se continuer « à domicile ». Un pas de plus dans l’atteinte à la liberté. Ces deux décisions constituent l’écrasement de tout espace thérapeutique : toute la psychiatrie est dans cet espace : nous connaissons la difficulté pour une personne qui n’a pas conscience de la nature de ses troubles pour qu’elle arrive peu à peu se sentir soutenue en confiance et qu’elle perçoive l’appui qu’elle peut tirer des soins. Tout soin obligatoire au contraire la pousse à comprendre que la société qui l’entoure lui est hostile, alors consciemment et inconsciemment elle va s’organiser pour lutter contre elle. Cette obligation vient annuler la psychiatrie dans sa qualité de soins.
On a cru l’entendre dire aux familles ‘Dormez tranquille : un officier de police va venir apporter les médicaments à domicile, les pompiers les assisteront au cas où votre malade de refuserait d’avaler son médicament (certes on a quelques doutes sur l’ambiance pour faire les injections ‘obligatoires’). C’est avoir une piètre idée du désir de soin qu’ont les familles. Le schizophrène (car le terme a été employé comme si la science avait reconnu le terme comme une vérité scientifique incontournable), qui sera sorti sans permission, fera l’objet d’une poursuite ; pour prévenir pareille ‘folie’ il recevra un bracelet de « géo-localisation ». Ce bracelet pourra de façon préventive être posé d’emblée en même temps que le diagnostic, tout comme les personnes ayant une maladie d’Alzheimer, la comparaison a été affirmée et elle est forte, elle montre la méconnaissance ‘totale’ qu’a le Président sur ce que sont les troubles psychiques. Comment ses conseillers le laissent-ils ainsi se couvrir de ridicule ? Une autre barrière est ainsi franchie : celle de la « géo-localisation » de la folie. Il n’y a plus moyen d’échapper. Georges Orwell doit être stupéfait de voir son ‘1984’ se réaliser.
Les placements d’office seront l’objet d’une liste nationale connue (sous secret médical, bien sûr) de tous les hôpitaux psychiatriques. C’est bien pire que le casier judiciaire, car les ‘erreurs’ ne seront jamais effacées. On ne sait pas encore avec précision quelles seront les conditions permettant de placer une personne d’office, c’est capital, car une fois mise dans cette liste, elle n’en sortira plus ! D’abord l’hospitalisation d’office donnera droit à un ‘régime spécial’ qui va être extrêmement difficile à délimiter. Il faudra être sûr que les patients soient dans des espaces d’hospitalisation d’où on ne peut s’échapper. ‘Ce n’est pas comme en prison’, la différence a été affirmée cinq fois, c’est exact que d’une prison on peut encore s’échapper. « D’un hôpital psychiatrique on ne pourra plus fuguer ». La Ministre veillera aussi à la construction de 200 cellules ; une somme d’argent considérable a déjà été donnée à la Ministre de la Santé. Y seront associés quatre nouveaux centres pour malades difficiles de 40 places chacun. L’enfermement est ainsi affirmé comme l’arme définitive contre la folie. Si quelqu’un a l’idée (folle) de penser que le malade a été traité suffisamment pour pouvoir sortir (on se demande en effet comment pareille éventualité pourra être envisagée) il faudra obtenir d’abord l’accord du ‘Préfet’ en personne. Car le Président a insisté : le Préfet ne déléguera plus à un sous-fifre cette surveillance. Cet homme ‘responsable’, le premier représentant de l’Etat dans le département, saura comment surveiller toute tentative de sortie. Le Président en a appelé constamment à la ‘responsabilité’ de chacun. Cela veut dire clairement que les sanctions devant toute ‘erreur vont ‘pleuvoir dru, du Préfet au portier. L’allusion aux victimes éventuelles d’un fou était discrète mais portée au plus haut niveau.
Le Préfet va s’appuyer sur l’avis d’un comité de trois personnes. On entrevoit les procédures, les attentes interminables, les doutes, les demandes de vérification pour être certains ! On ne va pas demander aux experts en qui on fait toute confiance mais ils ont déjà tant de tâches difficiles. On demandera au chef de service concerné, à un cadre infirmier, et à un autre psychiatre libéral par exemple, car il faut que les libéraux s’associent au public. Ce choix est malicieux si on l’examine, il ne pourra pas décider d’une sortie. Comment un tel comité pourrait-il affirmer que ce malade n’est pas dangereux ? La notion de danger étant un pur fantasme (il n’y a jamais eu la moindre donnée scientifique pour dire ce qu’est le danger en la matière), la conséquence est grave : personne n’est capable d’affirmer que dans les moments qui viennent une personne que nous avons devant les yeux ‘ne peut être dangereuse’, personne ; et si un accident survenait tous les trois seront coupables. Le chef de service sachant que des peines de prison l’attendent ne pourra le faire, le cadre infirmer pourra le faire encore moins car il voudra défendre tous ses collaborateurs infirmiers, quant au psychiatre libéral, plus on peut enfermer les malades difficiles, plus son travail en cabinet sera paisible ; pour sa sauvegarde personnelle, pour sa vie de famille, il ne peut prendre le risque d’aller en prison. Ainsi quatre professions seront à partir de demain ‘extrêmement’ attentives à ne pas laisser sortir un malade qui aura manifesté le moindre signe de violence. Va s’y adjoindre une cinquième qui après la condamnation récente à Grenoble de l’un d’entre eux sera encore plus vigilant pour que toutes ces mesures soient respectées : ce sont les Directeurs d’Hôpitaux, d’autant que le Président leur a rendu un vibrant hommage. Le directeur va veiller à la reconstruction de murs infranchissables, des sauts de loups (détruits depuis 40 ans), au contrôle à la porte de l’hôpital, aux fermetures des cellules et des services, aux miradors aux quatre coins de l’hôpital (les caméras ne sont pas encore arrivées, on ne voit pas comment on va pouvoir s’en passer dorénavant), à la bonne observance des traitements obligatoires (car il faut aussi une surveillance administrative), au contrôle de tous les documents de placement d’office et surtout, surtout, aux mesures de permissions avec leurs traitements obligatoires associés, à son parc automobile enfin, pour aller rechercher avec la police les malades fugueurs, à tout moment et en nombre suffisant. Si quelqu’un a besoin de soins psychiatriques « ne pas le soigner c’est être coupable de non assistance à personne en danger », c’est d’autant plus simple qu’on ne saurait comment demander son consentement à une personne qui a perdu les sens ? (ceci était accompagné d’un geste significatif : le doigt présidentiel a pointé l’honorable crâne ! La démonstration scientifique est irrésistible.) Pour conclure le Président a mis un terme à toute hésitation à obéir à ses ordres, la menace était claire, bien présente, elle a été affirmée avec une émotion sacrée, celle du Président, écartant d’un mot et d’un revers de main toute contestation, qui ne pourrait être « qu’idéologique ». Sur un champ aussi grave l’idéologie est donc interdite. Chacun a compris là que tout effort de compréhension clinique des troubles et toutes les approches humaines étaient ainsi écartées après avoir été sévèrement condamnées, car ‘idéologiques’ Le mot de conclusion a été prononcé avec le sourire, comme s’il savait qu’il y avait un mot qui allait tout faire accepter. Il a été dit que toutes ces affirmations allaient dans le sens de « l’humain » ‘bien entendu’ ! (clin d’œil appuyé) nous devons savoir qu’il sait ce qu’il faut nous dire !
Notre honte ! Mais pourquoi n’avons-nous pas crié notre terreur de voir s’imposer un tel régime de crainte, de perte de liberté. Jusqu’alors aucune loi française n’a franchi ces barrières intimes que sont le domicile, l’obligation de soins, la ‘géo-localisation ! cette barrière a été franchie en s’appuyant sur cette notion insaisissable de danger. Nous sommes effarés de constater l’état d’ignorance qui existe en haut lieu ? C’est aussi la première fois qu’un Président de la République stigmatise une maladie précise. C’est une blessure humaine grave. Comment ces personnes portant cette prétendue maladie vont s’en relever alors que nous savons très bien la variété de troubles correspondant à ce diagnostic ? Nombre d’entre eux peuvent ne jamais être soignées parce qu’ils n’en ont pas besoin. Comment les usagers de la Santé Mentale vont-ils oser dire que leurs troubles se rapportent à cette prétendue maladie ? Comment les usagers vont-ils pouvoir se défendre après telle affirmation venant de si haut, en public ? Jamais la stigmatisation n’avait atteint ce niveau. Ces usagers vont se sentir associés aux personnes ‘dangereuses’. Affirmation sans fondement qui devient sans limites. Et pourtant : Toutes les statistiques montrent que les malades mentaux ne sont pas plus souvent auteurs de crimes que la moyenne de la population. Toutes les statistiques montrent qu’ils commettent moins de délits. Toutes les statistiques montrent qu’au contraire les malades mentaux, au lieu d’être agresseurs sont 20 fois plus souvent victimes de violences que le reste de la population. Pourquoi l’entourage du Président lui a-t-il permis de se couvrir ainsi de ridicule. Quand le Président des français se ridiculise, je me sens comme citoyen malmené et blessé car il nous représente tous.
C’est vrai que la folie fait peur depuis que l’homme existe. C’est vrai que tout doit être fait pour montrer à la population que la folie fait partie de l’homme, et que plus l’homme est entouré par la solidarité humaine plus sa folie est intégrée à sa personne, et au lieu de le diminuer, l’enrichit.
Une commission a été nommée au début de l’été pour faire des propositions afin de sauver la psychiatrie française de l’abandon dont elle était l’objet, la commission Couty ; son travail est ‘balayé’ par cette invitation à la violence sécuritaire renforçant encore l’hôpital transformé en prison, et stigmatisant la folie avec tant de mépris.
Ce 2 décembre 2008 les professionnels de la psychiatrie, les usagers de la santé mentale ne peuvent rester muets. La seconde étape sera la loi. Il y a maintenant urgence. Nous savions qu’elle était dans les tiroirs depuis deux ans. Il fallait un évènement. Ce fut le drame de Grenoble. La situation d’une personne suffit pour faire une loi qui va troubler 65 millions de personnes en ciblant un million et demi d’entre elles comme susceptibles de violences. Dans les plus brefs délais c’est dans la rue qu’il faut défendre notre société, ses malades. Il y va de l’homme et des français. De Tous.
Dernière édition par Clémence Poï Poï Poï le Mer 03 Déc 2008, 9:09 pm, édité 1 fois | |
| | | xoxo Princesse
Nombre de messages : 4900 Date d'inscription : 06/11/2006
| Sujet: Re: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. Mer 03 Déc 2008, 9:03 pm | |
| Le Chef de l’Etat trouve des moyens pour renforcer la composante sécuritaire de la psychiatrie
Dès le lendemain du drame récent du 12 novembre dernier à Grenoble, où un patient en permission a poignardé un jeune passant dans la rue, le chef de l’état, comme à son habitude, avait immédiatement réagi au plus fort de l’émotion suscitée par ce drame en sanctionnant de manière expéditive le directeur de l’hôpital de Saint-Egrève et en annonçant une réforme des règles encadrant l’hospitalisation d’office et la constitution d’un fichier national des malades hospitalisés d’office.
Dans le droit fil de ces premières déclarations, le Président de la République est venu préciser ses projets à l’occasion d’une visite de l’hôpital Erasme à Antony le 2 décembre 2008.
Si la Fédération d’Aide à la Santé mentale donne acte au Président Sarkozy que c’est effectivement la première fois qu’un Président de la République rend visite au personnel d’un établissement psychiatrique, elle regrette que cette visite ait fait l’impasse sur les problèmes majeurs de la psychiatrie : avenir de la pratique communautaire de secteur à l’aune de la nouvelle territorialisation prévue par la loi « Hôpital, patients, santé et territoires », inégalité de la répartition des professionnels sur le territoire de la République qui se traduit déjà par une moindre accessibilité aux soins pour les plus démunis, articulations entre les dispositifs de soins et le secteur médico-social, recrutement et formation des personnels soignants.
Le président a rendu hommage au travail et à l’engagement des professionnels de la psychiatrie et fait allusion aux avancées apportées par le Plan Psychiatrie et santé mentale 2005/2008, mais il n’a ensuite traité que de la sécurité face à la dangerosité de certains patients à l’origine de faits divers qu’il n’est pas possible « d’imputer à la fatalité, mais à l’insuffisance de l’organisation de la prise en charge ».
Il n’a été alors question que de « l’hôpital psychiatrique » (qui n’existe d’ailleurs plus sur le plan juridique) et des moyens à mettre en œuvre pour le rendre plus sécurisé pour les soignants et plus sécuritaire pour les patients. Si l’on ne peut qu’être d’accord avec le président pour affirmer avec lui que la place des patients n’est pas en prison et la nécessité de rechercher un équilibre entre la protection de la société et la réinsertion des patients, la FASM n’est pas convaincue que les moyens annoncés suffiront à apaiser les pulsions agressives des patients. A qui fera–t-on croire, lorsqu’on a travaillé avec des malades mentaux, qu’un dispositif de géolocalisation (certes utiles pour les alternatives à l’incarcération des condamnés et qui assimile une nouvelle fois les malades mentaux à des délinquants) diminuera la dangerosité effective des patients potentiellement dangereux ! Le Président a annoncé également l’installation d’une unité fermée par établissement (sous entendu psychiatrique), faisant totalement l’impasse sur les unités de soins implantées dans des hôpitaux généraux, ainsi que la création de 200 chambres d’isolement.
Force est de constater pourtant que plus on dispose de chambres d’isolement, plus elles apparaissent “nécessaires et utiles” et plus l’on voit se renforcer les mesures administratives de contrainte de soins et les pratiques de contention physique qui avaient disparu des dispositifs de soins. C’est bien la recherche obsessionnelle de l’impossible risque zéro dont il est question, la réforme des procédures d’hospitalisation devant compléter ce dispositif afin de mieux encadrer la sortie des patients hospitalisés d’office, dont la décision serait aujourd’hui « prise à la légère par des préfets qui décident de manière aveugle ».
La FASM souligne que le nombre de patients réellement dangereux est infime : sur 50 crimes, un seul est commis par un malade mental et un citoyen ordinaire a beaucoup plus de risques de voir sa vie mise en danger par un chauffard que par un schizophrène... Une grande part des comportements de violence et d’agitation, rencontrés actuellement dans les unités de soins ou dans la Cité, est liée à l’insuffisance en nombre du personnel, par ailleurs souvent jeune et peu formé à la discipline psychiatrique. Multiplier le nombre d’unités fermées et de chambres d’isolement, avec protocoles à l’appui pour contenir les patients agités, sera insuffisant et ne remplacera pas l’efficacité du savoir être de soignants capables d’apporter contenance et apaisement par des bras sachant entourer un patient, un sourire qui soulage ou un mot qui rassure, un traitement compris et accepté dans une véritable alliance thérapeutique, expérience qui ne s’apprend ni dans les salles de cours des IFSI, ni dans les livres et qui apporte pourtant une autre sécurité que la menace de l’injection, de la camisole ou de la chambre d’isolement.
La FASM constate que la psychiatrie est présentée une fois de plus sous son seul versant sécuritaire, malgré les dénégations du Président qui déplore que seuls les faits divers soient l’occasion d’en parler.
La FASM regrette que le Président n’ait pas voulu aborder de manière plus globale les problèmes et les besoins de la psychiatrie et de la santé mentale et constate ainsi qu’il n’a été aucunement fait état de la mission confié à Edouard COUTY sur l’avenir de la psychiatrie, alors même que, d’un autre côté, des efforts sont faits pour déstigmatiser ces maladies avec, par exemple, la création des Groupes d’entraide mutuelle qui constituent une avancée majeure.
La FASM est prête, pour sa part, à participer à la réflexion sur ces questions fondamentales et à apporter son expérience pour concourir à la réforme de la Loi qui est attendue par les usagers, leurs familles et les professionnels concernés par son application. | |
| | | lizann Rejeton de l'inconscient
Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 17/07/2008
| Sujet: Re: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. Mer 03 Déc 2008, 10:05 pm | |
| Serait-il possible d'avoir les sources de ces "articles"/commentaires ... ? merci beaucoup. | |
| | | july326 Petit(e) Névrosé(e)
Nombre de messages : 460 Age : 37 Localisation : psy clinicienne fraichement en poste Date d'inscription : 29/03/2007
| Sujet: Re: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. Mer 03 Déc 2008, 10:14 pm | |
| je reste sidérée face au manque d'humanité prêtée aux patients en psychiatrie à quand une manifestation publique qui montrerait que le fou ne doit pas être stigmatisé? | |
| | | xoxo Princesse
Nombre de messages : 4900 Date d'inscription : 06/11/2006
| Sujet: Re: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. Mer 03 Déc 2008, 11:45 pm | |
| je les ai reçus dans ma boite mail, avec pour titres "communiqués de presse" et " Chère Madame, Cher Monsieur,
Nous vous prions de trouver ci-joint un communiqué de presse de la FASM CROIX-MARINE.
Vous en souhaitant bonne réception,
Avec nos meilleures salutations
F.A.S.M. CROIX-MARINE 31 rue d'Amsterdam 75008 PARIS 01 45 96 06 36" | |
| | | Joe le Kiffeur Serial Kiffeur
Nombre de messages : 2200 Age : 40 Localisation : Master 2 Pro Enfants et Adolescents. Date d'inscription : 05/11/2006
| Sujet: Re: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. Jeu 04 Déc 2008, 12:16 am | |
| Oui, c'est important de mettre les sources. On aime tous savoir qui dit quoi à propos de quoi. | |
| | | xoxo Princesse
Nombre de messages : 4900 Date d'inscription : 06/11/2006
| Sujet: Re: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. Jeu 04 Déc 2008, 1:36 am | |
| oui bien sur, mais en loccurence les sources n'apportent rien ici vu ce que jai, cest pour ça que javais rien mis. ya 2 points de vue, ce qui compte ensuite cest de se renseigner et de faire passer le message. | |
| | | gwenatsiaq Inuit
Nombre de messages : 2460 Age : 49 Localisation : psychologue clinicienne Date d'inscription : 07/01/2008
| Sujet: Re: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. Jeu 04 Déc 2008, 11:51 am | |
| j'avais un peu déserté le forum, et là, tout d'un coup je regrette mon ignorance béate... plus concrètement, y'a des remous sur vos lieux de stages ? des échos ? moi, lundi et mardi, pas un mot... je crois que ça me fait encore plus flipper : si les psys et autres acteurs de la santé mentale, la masse d'entre eux, au quotidien, ne bougent pas, qui le fera ? EDIT : bon, ok c'est plutôt normal - en regardant les dates ! je verrai vendredi, alors... | |
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| Sujet: Re: Discours de Sarkozy sur la maladie mentale. | |
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