lacaniens/non lacaniens une grande différence ?

les theories peuvent etre complementaires
elles parlent de sujets humains, avec un ICS, forcément ça se recoupe.
mais apres selon ce que tu as en tete tu es surement ammené à prendre des positions therapeuthiques différentes.

ya des courants qui theorisent à donf les etats limites, d'autres qui disent que ça existe pas... cest pas dramatique en soi. mais comment ça oriente la thérapie, ce que le clinicien peut accepter, jusqu' "où" il peut aller avec son patient...

c'est sans doute hors sujet, mais bon... moi le point qui m'intéresse le + c'est du côté de l'éthique. je veux dire : y'a des trucs qui peuvent me paraître fumeux, parfois parce que je suis trop à la ramasse, parfois parce que j'attrape pas les choses de cette manière. mais d'une certaine façon ça reste anecdotique. ce qui me pose vraiment problème, c'est quand le/la clinicien/ne bascule dans uns un truc d'agrippement au savoir : à mon sens ça vire très vite à l'auto-réassurance aux dépends du patient.
genre, certains profs : "il faut le savoir, on est les derniers névrosés - y'en a plus... états-limites... blablabla..."
en dehors de toute discussion sur la pertinence du concept , c'est quoi cette façon de faire ?! c'est quoi l'intérêt clinique de cette béquille sur le dos des patients - à part biaiser la rencontre avant même qu'elle ait eu lieu ? genre, c'est pas moi le fou, la preuve c'est toi ! et hop angoisse colmatée !
mais bon, j'suis pas sûre que le patient y gagne, lui.